Copyright ; Aidel Rachid
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LIVRE D'OR
C’est avec une immense tristesse que nous avons appris le départ de Monsieur Mhammed Gouraii, notre collègue, notre surveillant général, et surtout, un homme d’une qualité humaine et professionnelle exceptionnelle.
Monsieur Gouraii était bien plus qu’un surveillant général au lycée Ziania de Cherchell. Il était un modèle, un repère pour nous tous, qu’il s’agisse des enseignants, des élèves ou des parents. Sa présence rassurante, son sérieux , et son écoute attentive faisaient de lui un pilier au sein de notre établissement.
Il incarnait les valeurs de respect, de dévouement et de bienveillance. Il avait cette capacité rare de toucher les cœurs, d’apaiser les tensions et de guider chacun avec sagesse. Pour les élèves, il était un conseiller, mais aussi une source d’inspiration par son sérieux et sa bonté.
Aujourd’hui, nous ressentons un vide immense. Mais en dépit de la douleur, nous garderons de lui le souvenir d’un homme engagé, dévoué et profondément humain. Ses leçons, son sourire et son amour pour l’éducation resteront à jamais gravés dans nos mémoires.
Reposez en paix, Monsieur Gouraii. Vous serez toujours présent dans nos cœurs et vos valeurs continueront de guider ceux qui ont eu le privilège de vous connaître.
Avec toute notre gratitude et notre douleur,
Vos collègues et amis du lycée Ziania de Cherchell.
Mes condoléances les plus sincères à toute sa famille.
Nom: | Boufades djillali | E-mail: | djillali_fades hotmail.fr | Site web: | - | Date: | 04/06/2008, 18 06 43 (UTC) | Message: | j'espere que vendredi inchallah tout nos amis(es) seront réunis de nouveau et revivre a nouveau le bon vieux temps! |
Nom: | Rachid | Site web: | - | Date: | 04/06/2008, 15 03 02 (UTC) | Message: |
Une vieille légende indienne raconte
qu’un brave trouva un jour un œuf d’aigle
et le déposa dans le nid d’une « poule de
prairie ». L’aiglon vit le jour au milieu
d’une portée de poussins de prairie et
grandit avec eux.
Toute sa vie l’aigle fit ce qu’une poule
de prairie fait normalement. Il chercha
dans la terre des insectes et de la nourriture. Il caqueta de la même façon
qu’une poule de prairie. Et lorsqu’il volait,
c’était dans un nuage de plumes et sur
quelques mètres à peine.
Après tout, c’est ainsi que les poules de
prairie sont censées voler.
Les années passèrent. Et l’aigle devint
très vieux. Un jour, il vit un oiseau
magnifique planer dans un ciel sans nuage.
S’élevant avec grâce, il profitait des
courants ascendants, faisant à peine
bouger ses magnifiques ailes dorées.
« Quel oiseau splendide! » dit notre
aigle à ses voisins.
« Qu’est-ce que c’est ? »
« C’est un Aigle, le roi des oiseaux, »
caqueta sa voisine. Mais il ne sert à rien
d’y penser à deux fois. Tu ne seras jamais
un aigle. »
Ainsi l’aigle n’y pensa jamais à deux
fois.
Il mourut en pensant qu’il était une
poule de prairie. |
Nom: | Rachid | Site web: | - | Date: | 04/06/2008, 14 02 53 (UTC) | Message: | J'estime que c'est un devoir envers tous mes anciens camarades cher Noureddine:) |
Nom: | nouri | Site web: | - | Date: | 04/06/2008, 14 02 02 (UTC) | Message: | merci infiniment pour ce que vous faites cher camarade rachid |
Nom: | bensouna | E-mail: | mussouna yahoo..fr | Site web: | - | Date: | 04/06/2008, 13 01 16 (UTC) | Message: | ;-)slt tt le monde, on vs lisant je revis mon enfance, et,!!!
tous ce que on est entain de concrétiser, cé de transformer une idée noble ( rêve ) en action; bonne continuation à ts. abientot mes Amis (ies) |
Utilisateur: |  ezziania Déconnecté | Date: | 04/06/2008, 10 10 06 (UTC) | Message: | L'Album de Nouri Noureddine a été ajouté à la Galerie |
Nom: | - | E-mail: | humain_respectueux yahoo.fr | Site web: | - | Date: | 04/06/2008, 08 08 33 (UTC) | Message: | Cher Rachid,
J'adhère totalement au concept de cette représentation morale, réduite à l'essentiel.
S'associer par la pensée et l'acte au bonheur d'autrui est le rêve idéal que chacun de nous a envie de mettre à l'épreuve.
L'adéquation satisfaisante entre les êtres humains n'est autre que l'échange en toute franchise, des valeurs sacrées du partage, de l'encouragement...
Ne dit-on pas que "La bonté et l'honnêteté sont des valeurs universellement respectées".
Mettons cette idée directrice des valeurs nobles en débat.
ELLINDA, LOTFI, MUSTAPHA, ABDELLATIF, ALI AMMAR, MUSTAPHA, NOURI et tout les autres amis, sont priés de donner leurs avis respectifs.
Il faut sortir de cet engourdissement chronique.
Amicalement. |
Nom: | AIDEL | Site web: | - | Date: | 03/06/2008, 17 05 37 (UTC) | Message: | A lire jusqu'au bout, c'est extrêmement sérieux et ca donne à réfléchir!
Mes salutations ,
Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.
L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à coté de la seule fenêtre de la chambre.
L'autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances.
Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.
L'homme dans l'autre lit commença à vivre pendant ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.
Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre coté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.
Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.
Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.
Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Dès qu'il sentit que le moment était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre.
L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors.
Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.
Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.
L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.
Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.
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Nom: | aidel | Site web: | - | Date: | 03/06/2008, 15 03 24 (UTC) | Message: | ça sera pour demain inch'Allah monsieur nouri |
Nom: | - | E-mail: | humain_respectueux yahoo.fr | Site web: | - | Date: | 03/06/2008, 14 02 30 (UTC) | Message: | Avoir pour base un repère pareil est plus que nécessaire dans ce monde de brutes.
La vie s'apparente à un jardin.
Les feuilles flétrissent et les fleurs se fanent naturellement.
C'est seulement si nous éliminons les déchets que nous profiterons
pleinement de la beauté
des nouvelles feuilles et fleurs.
De même, nous devons éliminer de notre esprit les expériences
mauvaises, sombres du passé.
Vivre, c'est se souvenir d'oublier.
Pardonne ce qui doit être pardonné.
Oublie ce qui doit être oublié.
Embrasse la vie avec une vigueur renouvelée.
Nous devrions pouvoir accueillir chaque instant de la vie avec un
regard neuf, telle une
fleur fraîchement éclose.
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